A Toulouse, une menace de préemption fait plier propriétaires et promoteurs

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A Toulouse, les trente hectares laissés vacants par la clinique Saint-Jean fin 2018, date du déménagement de l’établissement à l’extérieur de la ville, attirent les convoitises. En décembre dernier, informée par des rumeurs de démarches engagées par le gérant (représentant des copropriétaires, regroupés au sein de sociétés civiles immobilières), pour l’aménagement du site, Toulouse Métropole brandissait la menace d’une préemption. "Les négociations engagées par le gérant en direction des promoteurs immobiliers, où l’enjeu financier semble jouer le premier rôle, ne garantit en aucun cas la qualité de projet exigée par la Collectivité" indiquait cette dernière dans un communiqué. La démarche a semble-t-il payé. "J’ai reçu une réponse qui va dans le sens de ce nous demandions" se félicite Annette Laigneau, vice-Présidente de Toulouse Métropole et adjointe au maire déléguée à l’urbanisme. "Le gérant s’engage à associer la (...)

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